De la ville (l’insertion urbaine) à la cellule de vie minimale (design d’espace) comment concevoir des logements qui prennent en compte et anticipent les évolutions des modes de vie
DU LOGEMENT À L’HABITAT RÉFLÉCHISSONS ENSEMBLE
La triple crise sanitaire, écologique et économique que nous traversons a mis en lumière nos déficiences dans de nombreux domaines, parmi lesquels celui du logement. Au plus fort de l’épidémie de COVID-19, les membres d’une même cellule familiale ont été amenés à vivre au sein d’un même espace de vie 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, passant d’une cohabitation sporadique à une promiscuité permanente. La conception des logements, ainsi que des aménagements urbains, a modifié substantiellement notre rapport aux lieux de vie, à leur confort et à leur qualité d’ambiance, notamment sonore. C’est dans ce contexte que la nécessité de repenser l’adaptabilité du logement se fait plus que jamais ressentir.
La Fédération Cinov (représentant de la branche professionnelle des bureaux d’études ingénierie, conseil et numérique) conduit depuis trois ans la réflexion sur l’enjeu de l’adaptabilité du bâti. Elle fait le constat qui envahit les ondes aujourd’hui, que l’on ne peut plus construire et aménager sans intégrer cette nécessaire évolutivité, afin de passer de la conception du logement à la pensée de l’habitat.
Cette nouvelle étude s’adresse à l’ensemble des acteurs de la construction, bâtisseurs, aménageurs, industriels, financiers, gestionnaires du foncier, juristes, assureurs, maîtres d’ouvrage publics/privés et représentants politiques.
Retrouvez les interviews vidéo liées à cette étude :
