CINOV Auvergne, branche régionale de la Fédération CINOV – représentative des métiers de la prestation de services intellectuels du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique – a élu le vendredi 26 février dernier Bruno Vuillemin au poste de Président régional. Installé à Clermont-Ferrand depuis 1992, il est depuis 2005 à la tête du bureau d’études Auvergne Energie Solutions, fondé en 2003. Ce BET fluides et thermique assure aujourd’hui son développement sur les économies d’énergie dans le bâtiment, un domaine en pleine dynamique à la faveur du plan de relance. Auparavant, Bruno Vuillemin a travaillé pour plusieurs bureaux d’études, parmi lesquels BETALM – spécialisé dans le génie climatique et électrique.
Renforcer la cohésion au sein de CINOV Auvergne et promouvoir les métiers de la branche
Avant d’être élu Président de CINOV Auvergne le 26 février dernier, Bruno Vuillemin était trésorier du syndicat régional depuis 3 ans. Il a désormais pour priorités d’élargir le nombre d’adhérents au niveau régional et de les fédérer à travers une gestion horizontale du syndicat, en impliquant les 35 adhérents dans la définition des priorités de CINOV Auvergne ainsi que dans l’établissement d’une feuille de route pour l’année à venir. Des premiers échanges avec ses confrères, Bruno Vuillemin retient l’idée de renforcer la promotion des métiers de la prestation de services intellectuels du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique en Auvergne, une région dans laquelle la branche peine à recruter. Le territoire souffre en effet d’une moindre attractivité, tandis que les métiers de la branche sont encore mal identifiés, perçus comme complexes et peu rémunérateurs.
S’appuyer sur les organismes de formation pour donner un nouveau souffle à la branche
Face à ces constats, Bruno Vuillemin souhaite renforcer les liens entre CINOV Auvergne, les établissements d’enseignement supérieur et les organismes de formation de la région. Selon lui, « les métiers de la prestation de services intellectuels du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique sont encore largement méconnus sur le terrain. Avec mes confrères auvergnats, nous aurons donc pour ambition de faire connaître et valoriser nos métiers, notamment dans l’ingénierie – secteur pour lequel nos adhérents éprouvent le plus de difficultés à recruter. Mais rappelons-le, il s’agit de premières idées, et non d’un programme qui reste à construire prochainement avec nos adhérents. »